Pourquoi une story du journal Cyclandes, pourquoi pas ! Cela est comme changer d’air et revenir au temps souriant de notre sport « le cyclosport » En 2012 Sieur Lepiaf se remet à la compétition. Exilé dans les Landes depuis peu, Sieur Lepiaf cherche à s’informer sur son sport dans la région Aquitaine. Pour cela il recherche où il peut se procurer des commentaires, des résultats, et surtout retrouver les photos de ses futurs exploits. Une âme bien charitable lui renseigne un site WEB « Cyclocrossman » Tenu par Monsieur Alain Guinle un site complet avec résultats commentaires enfin tout le tintouin. Seul problème comme les compétitions fleurissaient de partout dans le grand sud-ouest de l’époque, Alain Guinle ne pouvait être partout donc certaines compétitions passaient à l’as. Madame Pascale Douilly dans le site WEB de son Club de Castelnau d’Auzan publiait de magnifiques photos, mais elle aussi ne pouvait pas être sur toutes les épreuves. Les compétiteurs pouvaient glaner ci et là quelques photos auprès de quelques photographes épisodiques mais rien de plus. Résultat, de nombreuses courses landaises demeuraient dans l’oubli d’information. Donc Sieur Lepiaf se décida à devenir Webmaster et créa Cyclandes cela fut une belle histoire qui prit fin en 2020. Alors un peu de nostalgie dans un sommaire rétro de quelques événements du journal Cyclandes, rien que pour le plaisir !
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MIRACLE À AZEREIX
Bon j’explique : en 4ème catégorie. Une échappée passe la ligne, elle dédaigne jeter un coup d’œil au compte tour qui affichait « 1 » soit « dernier tour ». Ok le speaker n’annonce pas « dernier tour ». Au passage suivant soit l’arrivée, ces valeureux guerriers écervelés passent sans faire le sprint. Donc ils sont partis en croyant aller vers la gagne. Mais pour les organisateurs la compétition était terminée, pensant que nos lascars allaient se relever bien sagement. Les organisateurs ont suivi le programme prévu. C’est-à-dire : peu après la fin de compétition de la 4ème catégorie, pour le plaisir de tous les petits enfants du village, adeptes de la bicyclette, d’organiser une petite boucle du circuit de l’arrivée, suivis de leurs parents. C’est alors, que nos fous furieux ont déboulé sur eux pour un faux sprint final. Miracle, oui miracle ! Le drame n’a pas eu lieu. Croyez-moi cela laisse à réfléchir et j’y pense encore.
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